2eme réunion du GT4 (rélation avec les universités)

Europe/Paris
salle beauty

salle beauty

    • 15:00 16:00
      Discussion 1h
      Orateurs: Marco Bomben (LPNHE), Mathieu Guigue (Sorbonne Université)

        

      Salle Beauty: 15h10 - 16h30

      Présents: Marco, Julien, Irena, Jean-Phillipe, Sylvain, Mathieu

      Rappels sur les thèmes à aborder dans ce groupe de travail

      1. Plus urgents: liens avec UPD, questions sur l'Ecole Doctorale, Master commun SU-UPD, liens avec les instances universitaires, proposition d'étendre les contrats doctoraux à 4 ans
      2. Moins clairs mais à discuter dans un second temps: Master NPAC, proposition de stage M1, contrats doctoraux, stages de M2 plus longs, Labex ILP, point sur les EUR

      Marco a pu discuter avec 7 personnes de SU et 3 d'UPD. Il est suggérer de commencer maintenant la rédaction du livre blanc, cela permettra de concrétiser les discussions que nous avons eu jusqu'à présent.

      Liens avec UPD

      Pour rappel, le LPNHE est en ce moment sous la tutelle de UPD, SU et CNRS. Il est probable que ce nombre passe à deux (c.a.d. transformer UPD en partenaire). Le nombre de personnels d'UPD au LPNHE va passer de 5 à 4 avec le passage de Mélissa à SU.
      Les conditions sont déjà difficiles, notamment les demandes de promotions et les délégations CNRS (dont la durée est de 6 mois au lieu d'un an comme dans d'autres universités). La politique actuelle d'UPD vise à développer les laboratoires sur leur campus. Bien que cette politique soit comprise, placer le LPNHE en tant de laboratoire de deuxième cercle est très étrange de part le rayonnement de l'université sur la région et les importantes contributions scientifiques auprès des très grands instruments faites au laboratoire. Il est remarqué que cela peut venir de la vision et de la politique négative de l'université pour ces délégations, alors qu'elles sont vues d'un très bon oeil coté CNRS. 

      Dans ces conditions, est ce que changer UPD en partenaire ne va pas empirer les choses ? Peut on envisager un déplacement des personnels vers SU plutôt ? Dans tous les cas, il faut que tous les participants soient d'accord et que ce soit un mouvement d'ensemble. Il est remarqué que si c'est le ministère qui paye ces agents, cela devrait être possible. 

      Ecole Doctorale Step'up et attributions des bourses de thèse 

      Il est rappelé que le Labex ILP a redémarré mais ne proposera aucun financement de bourse car il sera arrêté d'ici un an, avant que les thèses associées puissent terminer. A la place, des offres de postdocs d'un ou deux ans seront proposées. Une réunion pour l'ILP est prévu pour le 20 décembre : un nouveau point sera fait après cette date.

      Il est remarqué que l'augmentation du nombre d'HDR soutenues cette année aura peu d'effets sur l'affectation du nombre de bourses de thèses. Cela provient de l'implementation de l'algorithme de décision d'attribution puisque celui-ci dépend principalement du fait que l'HDR est actif (c.a.d. a encadré une thèse durant les 3 dernières années). Afin d'avoir une politique plus efficace, le partage de l'algorithme et de son fonctionnement semble essentiel. Il est noté qu'un autre algorithme pourrait exister à P7, même si des problèmes de financements lors de la fusion des 3 branches (sciences, letters et médecine) a créé des difficultés.

      La possibilité de financer des sujets de thèses sur fond propres du laboratoire est mentionnée dans le compte-rendu du dernier conseil du laboratoire. Il est remarqué que l'obtention de telles bourses n'engage que la direction actuelle. La question de l'origine de ces fonds ainsi que de la pérénité de tels financements sur la durée des thèses a été posée et nécessite plus d'éclaircissement: pour le moment, aucune demande officielle sur les budgets 2019 n'a été faite.

      La question de rejoindre l'école doctorale PIF a été discutée et écartée car il semblerait que nous y perdrions beaucoup en terme de nombre de bourses attribuées. Il est nécessaire de s'impliquer dans Step'up et de comprendre l'algorithme d'attribution.

      Enfin, il est noté que la politique actuelle du CNRS vise à réduire le nombre de recrutements mais d'augmenter le nombre de bourses de thèse/postdoc (nds: cela a été confirmé lors de la réunion projets IN2P3; l'objectif affiché est de se rapprocher d'un modèle anglosaxon avec un nombre d'étudiants/postdoc grand devant le nombre de permanents).

      Master International SU-UPD

      Sorbonne Université est en train de monter une université européenne avec Heidelberg, Krakow et peut être Milan. Cela devrait être conclus dans pas très longtemps. Cela aura de grandes répercursions sur la possibilité de lancer des initiatives de master internationaux (comme celui discuté lors de la dernière réunion). Les fonds de l'IDEX pourrait alors aller à cette initiative plutôt qu'à celle du master international. Les étudiants suivraient alors les cours sur plusieurs campus. 
      Les cours de cette université européenne seraient donnés surement en français et en anglais (il est remarqué que la philosophie en Pologne s'enseigne en français).

      Il est ajouté que P7 a signé un accord avec King's college (UK) pour un partenariat.

      Instances universitaires

      Il est nécessaire que nous augmentions notre engagement auprès des instances universitaires. Cela est difficile sur P7 car il y a que 4 MdC. Sur P6, cela est un peu plus facile. La suggestion de planifier les recrutements dans chaque instance est faite: pour cela, le soutien de la direction du laboratoire sera nécessaire car cela peut être un temps considérable pris sur la recherche.

      Il est aussi noté que la structure et l'influence de Paris-Sud agrandissent et commencent à peser. Il faut donc s'appuyer sur l'université afin d'avoir une politique utile à ce sujet.

      NPAC et EUR

      Les prochaines EUR seront pour des universités sans IDEX (à confirmer); si c'est le cas, nous n'aurons pas d'EUR prochainement. 

      Valorisation d'enseignement

      Les stages obligatoires sont toujours rémunérés pour les enseignants (SU : pour tout le stage: 12h pour un binôme en L3, 6h en M1 et 3h en M2). Les décharges sont là pour pousser à prendre des L3 comparé au M2
      En effet il y a une faute concentration sur les M2 (par les EC et CR) et le nombre de décharges accordé ne réfléchit pas cette différence.

      Passage à 4 années de thèse

      La possibilité d'avoir des contrats doctoraux de 4 ans a été discutée. Ce type de pratique est très utile pour l'encadrant car elle ajoute plus de flexibilité et permet de s'accorder mieux aux échelles de temps des ERC. Cependant, cela n'est pas la norme et il est absolument nécessaire d'en discuter avec l'étudiant d'abord. De plus, la loi ne permet pas la signature de contrat doctoraux de 4 ans (seulement des extensions à titre exceptionnel afin de permettre aux étudiants de terminer leur thèse). Donc il y a fort à parier que Step'up ne signera pas de tels accords. En revanche, si la source de financement est plus flexible (comme avec une ERC), il est possible de financer l'étudiant une année avant le début de sa thèse (nds: une sorte de master thesis allemande). 

      Possibilité d'avoir des stages de M1 plus longs

      Les stages s'étalant sur plus de 7 semaines ont besoin d'être dédommagés à l'étudiants. Cela est toujours possible grâce à un avenant à la convention de stage, mais une discussion avec les chefs de groupe est nécessaire afin de trouver les financements.